Disease, biological conflict and simillimum

69° Congress of Liga Medicorum Homoepathica Internationalis

16/ 19, July 2014 Palais des Congres – Paris, France
Homeopathy on the move Strategies, Healing, Simillimum, Simile

Maladie, conflit biologique et simillimum.

Les maladies chroniques et néoplasiques représentent un défi pour la médecine du futur.  Il est nécessaire de saisir leur signification « biologique et sage » (phylogénétique, embryologique et ontogénétique) dans la vision de la médecine holistique et de la physique quantique.
L'objectif du médecin est de comprendre « la quintessence » du symptôme - maladie, pour pénétrer dans le « sens de la vie », dans ses mystères, en révélant les aspirations frustrées pour l'évolution téléonomique.
Pour les « buts élévés de l'existence » (dans les mots de Hahnemann), de l'autisme infantile à l'autruismede l'être humain mûr (comme le prétend Paschero).

Ce principe inspire un diagnostic visuel différent, un renversement de perspective et épistémologique de la signification du mot « maladie ».
Le mot « maladie » est équivalent à « la peur de la mort »: il évoque une réaction de l'alarme sympathicotonique, souvent excessive, dysergique de l'organisme et l'inadaptation ultérieure de la « Force vitale ». Il devrait être remplacé par le terme plus approprié de « DETRESSE » (vers la vie), vécue en même temps sur le « plan environnemental - émotionnel - physique » (SPNEIO: Spirituel Psychique Neuro Immuno Endocrinien Organique).
Par « spirituel » nous entendons le conditionnement inévitable: l' « empreinte » environnementale et le vécu codépendant unitaire “Un-Tout-Environnement”.
Le médecin homéopathe devrait éliminer conceptuellement la barrière du « bureau » qui définit les rôles stéréotypés inadaptés de la division entre le thérapeute et le patient : il devrait s'asseoir à côté de la « personne inadaptée » pour s'identifier dans son « point de vue », dans son vécu émotionnel et dans sa vision de la vie.

L'être humain est un merveilleux exemple de « système fonctionnel biocybernétique ouvert » et doit être compris comme « événement - processus dynamique », à énergie variable et dissipative (pas un circuit fermé auto-référentiel), phylogénétiquement et ontogénétiquement cohérent. 

Tous les organes et structures du corps sont en synergie - dialogue, grâce à une structure de nature conjonctive, qui les entoure, soutient, gère et nourrit : la « membrane - cytosquelette - bande - matrice », qui représente la vrai cerveau primordial, qui dicte les temps de l'évolution en synergie et cohérence avec l'environnement. 
Les maladies chroniques, dysplasiques et néoplasiques doivent être considérées comme un résultat des additions des déséquilibres chroniques « informationnels » convergents, des conflits aigus et récurrents, des tentatives de réponse - réhabilitation biodynamique, biologique et posturale aux différents besoins vitaux - existentiels, dans un « attracteur énergétique biophysique plus cohérent », bien que plus coûteux, mais capable de s'adapter et de continuer à « survivre de la meilleure façon possible » (P. Bellavite, 6). 

L'être humain n'est pas une machine faite d'atomes simples, mais de « quantas énergétiques » : les tissus fonctionnels sont l'expression de leur organisation dans certaines fréquences de cohérence électromagnétique (F. Capra, 5).
La vie sur Terre remonte à plusieurs milliards d'années, s'est évoluée à partir de formes primitives moléculaires, cellulaires, par divers degrés de complexité jusqu'à l'être humain qui préserve sa mémoire de l'évolution, à travers toutes ses étapes principales (phylogénie) de l'état du zygote, à l'embryon, foetus, nourrisson, enfant et être humain adulte.
Les différentes étapes de ce développement d'organes, qui se sont consolidées au cours de millions d'années à partir de trois feuilles embryonnaires (endoderme, mésoderme et ectoderme), caractérisent l'ontogenèse.

 Toute l'histoire de l'évolution s'insère dans le mécanisme de l'ontogenèse;
des programmes de développement sont générés, testés et « sauvegardés » dans les cellules de mémoire (matériel cerveau), tel que les « codes biologiques», une série de « fichiers » qui traitent le « schéma corporel », guide du comportement vital. 
Nous pouvons affirmer qu'en observant les étapes de l'ontogenèse nous pouvons revivre tous les temps et les époques de l'évolution de la vie sur terre .
(comme l’a déclaré  da Hamer, 3). 

Depuis l'énergie - matière primordiale, les êtres vivants ont évolués comme «bio-structures d'énergie quantique »,  caractérisées par des champs électromagnétiques qui animent l'organisation holographique structurelle des cellules et des organes selon les schémas fractaux de la « cohérence informationnelle évolutive » (comme l’a déclaré  Bellavite). 
Chaque action corporelle (métabolique, fonctionnelle, physique, etc.) est le résultat de la résonance des structures consacrées à un but précis, en raison de messages électromagnétiques cohérents, générés par les codes biologiques qui se sont consolidés et spécialisés pendant plusieurs milliards d'années en synergie et coopération avec les micro-organismes symbiotes (microbiote) intégrés dans la structure organique de l'homme.

Chaque fonction biochimique - physique est déterminée par des inputs d'informations électromagnétiques émanant de la « mémoire - schéma corporel », système de « noeuds de neurones -  neuromatrice » (Sukul, 4) qui interprètent des   « façons de penser - la personnalité ».  Ces stimuli résonnent simultanément de manière coordonnée et cohérente dans tous les points du corps, à travers le « réseau - cytosquelette - bande ». Les molécules chimiques, les neurotransmetteurs, les peptides, les cytokines, etc.,  et les récepteurs de membrane périphériques cellulaires avec lesquels ils interagissent, ne sont que les « terminaux opérationnels », effecteurs et exécuteurs des ordres du « Système Tout Esprit Corps », en d'autres termes la C.B. SPNEIO  (Constante Biologique Spirituelle PsychoNeuro-ImmunoOrganique, ou Force vitale - Qui - Entéléchie).

La CB SPNEIO (personnalité unique inimitable) représente l'équilibre et l'expression du génome stable (ADN -  matériel historique de l'espèce, qui s'est consolidé en millions d'années) et de l'épigénome variable (logiciel : histoire récente de l'individu - famille - environnement - microbiote)
Plus les organismes sont complexes, plus leur « plasticité cellulaire » et la dépendance de l'information environnementale (état qui détermine l'insécurité initiale, mais un grand avantage pour la capacité d'adaptation et l'apprentissage évolutif).

Celui qui dirige et détermine toutes les fonctions et l'actualité clinique – symptomatologique - (les soi-disantes maladies) est le « je suis rationnel », en raison des « modes de pensée actuels », la Personnalité ... composée par les croyances, les illusions, les idées fausses, la manière et le mode d'être, les préjugés et les jugements, les ressentiments, les obsessions, etc.
La multitude infinie de neurotransmetteurs et cytokines peuvent faire tout et le contraire de tout, parce que celui qui décide est le « gestionnaire central » (Constante Biologique - Force Vitale Spirituelle).  
Pour comprendre l'essence de l'être humain, nous devons aller au-delà de la vision neurochimique (émetteurs - récepteurs). Ce n'est qu'avec les principes de la biophysique et de la biorésonance électromagnétique qu'on peut expliquer la transmission d'information coordonnée, simultanée et immédiate à tout point du corps pour les diverses fonctions et les besoins vitaux. Messages et inputs PNEI interprétés et adoptés en temps réel et simultanément de chaque membrane - cellule - molécule:  co - informations (comparer les études de F. Capra et P. Bellavite).
Par la vue holistique de la médecine et de la réalité universelle en général, on peut comprendre le sens et la structure de la vie, « condition sine qua non » pour guérir et espérer de guérir les maladies.
Tout être vivant, toute cellule, toute molécule se réfléchit et se répète dans les modèles biologiques holographiques et fractaux (selon des modèles mathématiques et de l'énergie quantique), le « schéma biologique vital » de l'organisme Univers.

L'être humain est une cellule de l'organisme « Terre » (génosphère). À son tour, la Terre est une cellule de l'organisme galaxie « Voie lactée », à son tour une cellule de l'Univers ou des Univers. 
Dans le cerveau, il y a l'image tridimensionnelle holographique de chaque « organe - fonction - complexe », qui s'est aiguisée pendant des milliards d'années par les exigences environnementales (phylogénie): schéma corporel cérébral décrit pour la première fois par le neurologue canadien Wilder Penfield (1891-1976):  Homunculus moteur e H. sensoriel.
Les maladies chroniques et les néoplasies représentent des tentatives de restructuration et de redressement de la cohérence des champs énergetiques structurels pour rétablir l'équilibre altéré du système biologique à la suite d'erreurs d'information (conflits neurovégétatifs biologiques aigus et chroniques).  
En considérant l'être humain comme un champ d'énergie (constitué de photons), il est évident que la thérapie doit essayer de restaurer la « cohérence » de l'énergie du système biologique lui-même, grâce à l'apport d'informations et conformément au "Tout" esprit - corps - environnement (similis - similimum) qui permette aux flux d'énergie de trouver un soutien quantique suffisant pour l'équilibre de la Constante Biologique générale. 
Ce ne sont pas les gènes qui déterminent notre santé, mais la lecture correcte des informations environnementales de la part de notre système de membranes  (comme l'a déclaré Bruce Lipton) et la façon dont l'ESPRIT INCONSCIENT - schéma corporel (système de croyances, illusions, perceptions erronées) interprète les stimuli externes.  
Grâce aux concepts de la PNEI, de l'EPIGENETIQUE, de la Médecine Biologique e de la POSTUROLOGIE, l'on a compris que la « personnalité - psychisme » joue un rôle primordial dans la physiopathologie de notre organisme, affectant directement le génome.

Nous ne sommes pas « ce que nous croyons être », mais « ce que notre âme (codes biologiques) pense devoir être ».
L'origine de la maladie dérive aussi du conditionnement que chacun de nous (l'esprit - « le je suis » émotionnel) exerce sur lui-même (corps physique), en supportant l'action idéoplastique par laquelle on a une véritable « modélisation de la composante structurelle biologique » induite par la « façon de penser et d'interpréter la réalité » dans le réflexe inconscient (codes biologiques du schéma corporel qui se sont déterminés au cours de millions d'années) de devoir se « structurer » pour une réponse adéquate à l'événement extérieur, surtout s'il est inattendu, aigu, vécu dans l'isolement, angoissant et stressant émotionnel (R.G. Hamer).
La « maladie », en particulier la néoplasie, est la réponse aux limites de notre compréhension rationnelle de la réalité qui nous entoure et que nous ne sommes pas en mesure de traiter - comprendre correctement en temps utile pour nous adapter aux nouvelles exigences environnementales inattendues. 

Connaître une partie holographique de l'ensemble, tout en considérant qu'« en tout point du corps il y a le corps entier » nous suivons une « trace clinique » qui nous ouvre la porte et nous conduit à la connaissance du « Tout Etre Humain Environnement » pour explorer la « racine, primum movens » et l'importance de la pathologie.   
Les maladies chroniques, la « néoplasie », l'ulcère, la nécrose des tissus, etc. se configurent en tant que réactions structurelles de l'adaptation relativement aïgue d'un organisme inadapté à fournir une nouvelle fonction, de s'adapter à un « changement environnemental imprévu », à une nouvelle situation inconnue, pas codée dans la mémoire cellulaire génétique : «conflit biologique aigu» (dans les mots de Hamer).
Il se produit, à savoir, « une réponse biologique automatique » de l'organisme (en même temps dans tous ses niveaux SPNEIO) sans une médiation adéquate effectuée par la Constante Biologique - personnalité impréparée à faire face à la nouvelle « condition - demande environnementale » 
Le schéma corporel cérébral représente la « carte topographique du SNC » où chaque organe et fonction du corps trouve son lien - dialogue (relais) nerveux spécifique.
Dans chaque pathologie, on a une activation (gain de fonction) de l'une de ces zones spécifiques cérébrales du schéma corporel - personnalité. 
Face à un événement inattendu, aigu et dramatique, dans notre esprit-corps on active une réaction neurovégétative (CRH-ACTH) de Hans Selye du stress SPNEIO. L'organisme puise dans sa mémoire phylogénétique et ontogénétique cellulaire (épigénome - schéma corporel) les modèles biologiques comportementaux réactifs similaires pour adapter ses fonctions - structures aux nouvelles exigences environnementales auxquelles il n'est pas préparé (= néoplasie - restructuration - nouvelles fonctions).
Ces considérations revêtent une importance capitale pour la recherche scientifique : les inputs et les mécanismes de l'évolution ne dépendent pas de mutations génétiques aléatoires, plutôt de DÉCLENCHEURS ENVIRONNEMENTAUX chroniques, importants, de la reprogrammation - échange d'information continuelle entre les organismes vivants (y compris les êtres humains) et le contexte socio - environnemental historique vécu.

Les maladies doivent être entendues comme une « malaise fonctionnelle - structurelle » de moments évolutifs, un changement parfois radical pour l'être humain, comme les tremblements de terre, les changements climatiques périodiques, les crises économiques, etc., pour l' « Organisme Environnement ». 
La maladie est synonyme et « conditio sine qua non » de vie - évolution.
La pathogénie suit sa logique phylogénétique, ontogénétique et embryologique. Chaque organe et tissus tombent malade suite à une précise nécessité biologique téléonomique, réponse - adaptation à l'input environnemental, en configurant des modes réactifs particuliers et répétitifs (selon les codes biologiques), organes et tissus spécifiques, en fonction de leur dérivation embryologique, du vécu intrinsèque à l'expérience mentalement intégrée (logiciel) et à la personnalité constitutionnelle diathèsique (matériel).

Il ressort la possibilité de prédiction - évolution pronostique des pathologies et, en particulier, d'interpréter les mêmes en sens biologique pour cibler efficacement l'histoire clinique personnelle pour la compréhension du « primum movens » dans l'histoire biopathographique, en suivant le « fil de la bobine névrotique » qui amène à la véritable cause de la maladie: le « conflit biologique » de base, à savoir l'incapacité de l'individu à donner une réponse adéquate aux exigences environnementales qui favorisent son « affirmation - existence - évolution ». 
La caractérisation anatomique et histologique des différents types de tissus pathologiques (néoplasiques, dysplasiques et dystrophiques), nous permet de retracer le sens biologique et le type de conflit qui est à sa base et à son origine.

Ce raisonnement biopathographique-ontogénétique, ainsi que l'évaluation de la « totalité des symptômes présents », nous permet de diagnostiquer le remède « similis clinique relatif » et / ou « similimum constitutionnel ».  De cette manière, on évite le danger de prescrire des remèdes apparemment bien choisis, mais qui peuvent se relever négativement « suppressifs » en cas de récidive, sans comprendre l' « essence même », aspiration - évolution spirituelle de l'être humain que nous avons pris en charge (qui représente le cœur, le noyau dur du remède).
Les pathologies récurrentes sont favorisées par les médecins qui, avec peu de tact, tranchent le diagnostic du « cancer », des situations qui peuvent déclencher le cercle vicieux de la « peur - conflit biologique - peur - nouveau conflit biologique »avec de nouvelles récidives des phases sympathiques-toniques des restructurations de la Constante Biologique (nouvelles néoplasies interprétées à tort comme « métastases »),  qui augmentent de manière non durable la « masse conflictuelle » (selon Hamer) en durée et en intensité, en la portant à un point de non-retour (mécanisme de l'apoptose). 
La première forme de vie complexe est représentée par une MEMBRANE PLASMIQUE simple et subtile, qui, pendant des milliards d'années, va se différencier de plus en plus, jusqu'à devenir une cellule avec différentes structures spécialisées pour le traitement et la digestion des aliments,
l'élimination de débris indésirables, la combustion pour produire sa propre énergie (mitochondries) et la nécessité d'une MEMOIRE COMPORTEMENTALE pour stocker et garder les données acquises (noyau, chromosomes et ADN).

Le véritable « chef d'orchestre » de l'être humain n'est pas le génome, mais la « membrane cellulaire - matrice »(structures réticulées ubiquitaires), l'unité fondamentale du « tout », commun et similaire à tous les êtres vivants, véritable lien entre les humains, les animaux et les plantes.
La membrane cellulaire - matrice agit à travers une myriade de protéines, expression directe des gènes stimulés par le réseau d'informations environnementales, avec un caractère « pléiotrope» : des protéines identiques, c'est à dire fabriquées depuis des cellules (et gènes) différentes (voir les études de Bellavite). 
Avec l'évolution vers la complexité, des organismes primitifs ont commencé à collecter et conserver les expériences cognitives et de nouvelles informations recueillies dans l'environnement, en développant le mécanisme de la « mémoire » et des « codes de conduite biologiques - Schéma Corporel », pour sélectionner et rappeler les structures et les fonctions les mieux adaptées pour la meilleure survie possible de façon à évoluer structurellement en harmonie avec l'environnement. Ainsi, il est apparu l'ADN et le noyau cellulaire : un coffre-fort - ordinateur pour la collecte et le traitement des informations - données et, de procaryote (dépourvue du noyau), la cellule est devenue eucaryote (munie du noyau et de l'ADN).

L'environnement (dans le sens de l'interaction sociale) agit sur l'organisme vivant en modulant l'activité des gènes, par des inputs filtrés et traités au niveau des récepteurs de la « membrane cytoplasme cellulaire » (système microcosmique SPNEIO).   La santé et les maladies dépendent de ce que nous pourrions appeler le «  STYLE ENVIRONNEMENTAL », compte tenu de tous les éléments décisifs de l'épigénétique : le génome, le micro-biogénome, l'éthique, l'environnement dans le sens le plus large, le style familial - parental (réseau d'information transmis à des générations différentes). 
Le mauvais style environnemental (mauvais parents, en particulier) détermine les futurs « mauvais styles environnementaux » et de « nouveaux mauvais parents ».
On devrait réévaluér le « paradigme évolutif néo-lamarckien » :  l'environnement ne sélectionne pas les êtres vivants sur la base de « mutations génétiques aléatoires » (paradigme sélectif darwinien), mais en fonction de l' « avantage adaptatif  », en récompensant la capacité de reprogrammation bio-posturale : l'environnement joue "un role actif/essentiel dans l'induction/modulation continuelle/directe de la structure épigénétique cellulaire dans les processus de développement individuel (ontogenèse) et d'évolution collective (phylogénie), (E. Burgio). 
Parallèlement au développement de la complexité des organismes supérieurs, on détermine également celle de leur système « symbiotique » intérieur : le Microbiote. 
Différents types de micro-organismes saprophytes (champignons, bactéries et virus) s'intègrent aux fonctions cellulaires comme des alliés précieux et indispensables pour les diverses fonctions métaboliques, respiratoires - énergétiques et immunitaires.

La symbiose entre les êtres humains et l'environnement se poursuit sans interruption et phylogénétiquement.
Les êtres vivants attrapent de l'environnement, au cours de leur évolution, des substances diverses et ultérieures (d'origine végétale, minérale et animale) utiles pour leur restructuration - reprogrammation continuelle afin de s'adapter aux conditions - exigences environnementales de plus en plus nouvelles
En plus des substances nutritives pondérales (pour produire l'énergie et la plasticité structurelle du corps), il faut des « substances informatives cohérentes » qui puissent agir comme un lien pour le développement symbiotique et harmonique entre les différents acteurs de l'environnement et qui dirigent toutes les choses et les êtres vivants vers le Tao commun, « les buts les plus élevés de l'existence ». 
La substance prince, à savoir le lien essentiel, est l'eau informatisée, véhicule de la mémoire cohérente qui harmonise tous les êtres vivants. 
Il est envisageable que l'on configure phylogénétiquement, pendant des milliards d'années d'évolution, des substances porteuses dans la nature de la mémoire évolutive du Tout : l'âme des remèdes.
Nous assistons au développement extraordinaire synergie entre les êtres vivants complexes, micro-organismes symbiotiques et « substances informatives cohérentes », dont le rôle essentiel est d'aider les organismes à surmonter les véritables conflits biologiques que l'environnement détermine progressivement.
Nous pouvons résumer ces concepts structuraux phylogénétiques et les fondements constitutionnels dans les quatre codes biologiques primordiaux

  1. Objectif essentiel :  «survie du code biologique / nutrition / reproduction »- schéma corporel endoderme (tronc cérébral).  Micro-organismes symbiotiques primordiaux : champignons. Information primordiale cohérente : calcaire carbonique.  Conflit : ne pas être en mesure de se nourrir et de se reproduire.
  2. Objectif essentiel : «code biologique protection / se défendre »- schéma corporel mésoderme ancien (cervelet).  Micro-organismes primordiaux symbiotiques : bactéries. Informations primordiales cohérentes : calcaire sulfurique - soufre.  Conflit : ne pas parvenir àprotéger - défendre son intégritéphysique et conquérir de nouveaux territoires utiles pour une meilleure survie.
  3. Objectif essentiel : «code biologique force / estime de soi »–schéma du corps mésoderme récent - substance blanche cérébrale.  Micro-organismes primordiaux symbiotiques : bactéries. Informations primordiales cohérentes : calcaire sulfurique phosphore. Conflit d'auto-dévaluation, ne plus être utile - en mesure de remplir ses propres fonctions de soutien àla famille ou au groupe, perte d'estime de soi.
  4. Objectif essentiel : «conflit biologique relation / socialité»- schéma corporel ectoderme - cortex cérébral.  Micro-organismes primordiaux symbiotiques : virus. Information primordiale cohérente calcaire fluorique.  Conflit de ne pas être en mesure de rejoindre le groupe, de ne pas jouer un rôle important en son sein.

La « clé» de la santé est l'harmonie (équilibre yin - yang).
Le « remède simillimum » biologiquement cohérent nous montre le chemin pour la trouver.

Dr. Giovanni Alvino

16/07/2014

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